Après un ami, mon mari m'a donnée à un inconnu

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il y a 10 ans

Après un ami, mon mari m'a donnée à un inconnu

Un récit érotique de M31andromede portant sur le libertinage

Mon premier inconnu

Finalement, j’avais gardé un très bon souvenir de ma première expérience avec notre ami Thierry. Quand j’y repensais, j’avais parfois des frissons de plaisir qui me venaient dans le bas ventre. J’avais beaucoup joui de me retrouver avec le sexe d’un autre que mon mari en moi et les doubles pénétrations qu’ils m’avaient offertes m’avaient laissé un souvenir inoubliable. Mais jusque là, rien de nouveau n’était arrivé. J’en étais arrivée à la conclusion que mon mari avait eu ce qu’il voulait, me voir faire l’amour avec un autre homme devant lui, et que cela lui avait suffi. La suite me démontra que je m’étais lourdement trompée et que ce que j’avais pris pour une tocade allait me révéler une obsession.

Un jour, mon mari me demanda de m’habiller sexy, ce que je fis sans surprise car j’avais l’habitude qu’il me demande cela. A la maison, je l’étais quasiment tout le temps et il m’avait même appris à oser sortir dans des tenues très excitantes. Au début, j’avais eu du mal à être dehors ainsi, jamais de collants, toujours des bas et des porte-jarretelles et ce en mini-jupe et de plus il m’avait interdit de porter une culotte ou seulement des culottes fendues.

Ce jour là, je portais donc une jupette plissée écossaise très courte, genre écolière, qui m’arrivait juste sous la naissance des fesses et un peu au dessus de mon sexe. Dessous j’avais un porte-jarretelles blanc dont les attaches qui dépassaient de ma jupe tenaient bien tendus des bas blancs. J’avais mis une culotte blanche totalement fendue dont on apercevait les deux côtés encadrant ma toison tellement la jupe était courte. Pour le haut, j’avais un chemisier blanc transparent qui ne dissimulait pas un soutien-gorge seins nus blanc qui maintenait haut perchés mes gros seins.

Je vaquais à mes occupations lorsque la sonnette de la porte d’entée retentît. Mon mari se dirigea vers la porte pour aller voir ce que cela pouvait être. Je ne m’en préoccupais pas et continuais ce que je faisais. Entendant derrière moi mon mari revenir, sans me retourner, toujours penchée en avant, montrant mes fesses et ma culotte fendue, je lui demandai :

• Qu’est ce que c’était ?

Puis je me retournai et découvris avec stupeur que mon mari n’était pas seul et qu’un inconnu était en train de me regarder, sans gêne, le regard rivé sur mes cuisses et mes seins.

• Mais, mais. Qu’est ce que c’est ? Qui est ce ?

Mon mari m’attrapa par la taille :

• Je te présente Alain. Alain, je te présente Aline

Dit-il tout en remontant ma jupe sur mon ventre.

Gênée par le regard insistant de cet inconnu, je me dégageai et quittai la pièce en tentant de dissimuler mes seins.

• Vas y. Installes toi.

L’entendis je dire à cet homme

Puis mon mari me rejoignit

• Qui est ce ? Pourquoi, tu ne m’as pas prévenue qu’il y avait quelqu’un avec toi, surtout habillée comme je suis ? Ah il s’est rincé l’œil ! • C’est un copain qui m’appelle Alain et il est venu pour te voir… • Pour me voir ? Ca, il m’a vue. Qu’est ce que ça veut dire me voir ? • En fait, il est là pour te faire l’amour. Je veux que tu t’offres à lui. Vu comment cela m’est passé avec Thierry, j’ai pensé que ce serait bien de renouveler l’expérience. • Oui mais Thierry, c’est un ami, pas un inconnu. • Alain est un copain, ce n’est pas vraiment un inconnu • Et tu veux vraiment que je me donne à lui ? • Exactement

J’étais outrée. Mon mari se mis alors derrière moi et se mis à malaxer doucement mes seins.

• Je veux le voir te pénétrer et bouger en toi. En plus je crois qu’il assez bien monté.

Mon mari commençait à bander et je sentais son érection contre mes fesses. Le sentant ainsi, me revint le souvenir des très bons moments que j’avais passés avec Thierry et mon mari. Je commençais à faiblir

• Mais c’est que ça t’excites. Bon d’accord mais ne t’étonnes pas. • De quoi ? • Tu verras bien

J’avais décidé de lui donner ce que je croyais une leçon.

J’étais habituée à voir le regard des hommes sur moi toujours vêtue très sexy. De plus, avec Thierry, j’avais carrément pratiqué une exhibition devant lui, d’abord vêtue en soubrette puis en me déshabillant devant lui. J’avais adoré cela. Alors, finalement pourquoi ne pas le faire devant cet homme que mon mari m’amenait.

Nous revînmes dans le salon où Alain nous attendait assis dans le canapé.

Je vins me planter devant lui.

• Bonjour. Mon mari m’a dit pourquoi vous êtes là.

Je déboutonnai mon chemisier que j’ôtai lascivement en faisant saillir ma poitrine. Puis je soulevai ma jupette, montrant toute ma toison encadrée par les deux pans de ma culotte fendue.

• Ca vous plaît ?

Demandai-je en commençant à me caresser.

Puis je me mis sur une table basse devant le canapé, jambes ouvertes offrant au regard d’Alain ma chatte que j’entrouvris avec une main, comme on pouvait le voir dans certaines revues que mon mari m’avait montrées.

• C’est là que tu vas me la mettre ta grosse bite. A moins que tu me préfères comme cela. En levrette comme une chienne.

Dis-je en me mettant à genoux.

Mon mari comprenait pourquoi je lui avais dit de ne pas s’étonner. Je me comportais comme une vraie salope. J’en avais un peu honte mais j’avais osé.

Mon mari voyait qu’Alain commençait à m’exciter. Ce n’était pas la peine d’attendre plus longtemps.

• Bon. On va aller dans la chambre.

Je me relevai et prît Alain par la main pour le faire lever.

• Viens me mettre ta grosse queue

Puis je me mis à le caresser à travers son pantalon.

• Ca va être bon. Tu bandes déjà bien.

Il me prît les seins qu’il malaxa doucement, s’attardant sur mes tétons qui m’érigèrent bientôt.

Alain et mon mari se mirent nus. Comme Christian me l’avait dit, Alain avait un sexe un peu plus long que le sien et son gland était lui aussi un peu plus gros. Je devrais aimer cela.

Alain se coucha, sexe érigé. J’étais au pied du mur si l’on peut dire. J’avais délibérément allumé cet homme et maintenant il attendait la suite, caressant son sexe d’une main. Mon mari, sentant mon indécision, me poussa en avant pour que je me mette à quatre pattes. Il prit ma tête qu’il pencha vers le sexe tendu pour je le prenne dans ma bouche.

• Tu t’es bien montrée alors maintenant suces le.

Finalement, ma hardiesse se retournait contre moi. Je m’exécutais et commençais à le lécher, à engloutir son gland violacé tout en le masturbant. Puis mon mari se coucha sous moi pour me lécher.

Au bout d’un moment, Alain m’apostropha :

• Dis donc tu suces sacrément bien.

Cela mon mari le savait déjà.

Au bout d’un moment, je commençais à mouiller et mon mari décida de changer de position. Mon mari se mît à genoux derrière moi et entreprit de me prendre en levrette. En même temps que mon mari me besognait, il regardait avec attention la fellation que je pratiquais à son copain. J’y mettais vraiment de l’ardeur, léchant, suçant. Rien que cela m’excitait au plus haut point et mon mari l’était également au point de redouter de partir trop tôt. Aussi, il sortit son membre de ma chatte et dît à Alain :

• On va changer de place.

Alain vînt alors me mettre en place derrière moi et pointa son gland turgescent entre les lèvres encore ouvertes de mon sexe. Alors je me raidis un peu. Bien que je l’aie sucé avec entrain, l’idée de me faire pénétrer par un inconnu me gênait encore énormément.

Je voulus protester :

• Non. Je ne veux…

Alain avait aussi senti que j’’étais encore un peu réticente aussi ne perdît-il pas de temps.

• Ah non, salope ! Tu m’as tellement excité qu’il faut que je me vide les couilles. Et c’est toi qui vas me les vider.

Je m’étais raidie sous l’injure mais en effet, je l’avais tellement excité par ma fellation qu’il fallait qu’il décharge. J’étais suffisamment lubrifiée par les va et vient précédents de mon mari que, me maintenant par les hanches, il s’enfonça d’un puissant coup de rein jusqu’au fond de mon sexe.

Alors que je terminais d’exprimer mon refus

• …pas qu’il me pénètre. Han.

Fis-je sous le coup de la surprise de me sentir entièrement pénétrée. Je tressaillis mais il me tenait fermement et resta planté en moi. Mon mari regardant son ami m’envahir commenta :

• Trop tard. Il est en toi

Puis mon mari continua à mater pendant qu’Alain commençait à aller et venir en moi par de petits va-et-vient pour ne surtout pas être éjecté. J’eus encore quelques réticences mais bientôt je me mis à gémir.

• Vas y. Prends moi. Enfile-moi ta grosse queue. Mets la tout au fond.

Mon mari avait gagné : j’avais accepté de me faire prendre par cet inconnu et j’y prenais du plaisir.

Soudain il eût une idée. Mon mari demanda à Alain :

• Serais-tu d’accord pour que je fasse des photos. • OK. Mais tu m’en donneras un exemplaire

Il alla donc chercher son appareil photo et commença à me photographier en train de me faire prendre par le membre raide de son copain. Mon mari fit plusieurs photos y compris des gros plans de ma chatte offerte à la queue d’Alain, encadrée par les deux pans de ma culotte fendue, le tout surmonté de ma jupette que je n’avais même pas eu le temps de retirer, mais elle était tellement courte qu’elle ne gênait en rien les pénétrations que je subissais.

Au bout de longues minutes de ce traitement, Alain se planta tout au fond de moi. Il était en train de décharger et je me mis à gémir encore plus fort. J’étais en train de jouir.

Il resta un long moment planté en moi avant de sortir son sexe luisant de son foutre et de mes propres jus de femme comblée.

Mon mari photographia alors en gros plan mon sexe d’où commençait à s’écouler le foutre d’Alain. Lui aussi, avait besoin de se vider. Alors que j’allais me redresser pour aller me nettoyer, mon mari me dit :

• Ah non. Maintenant moi aussi je veux te remplir de mon foutre. • Mais, il faut que je me nettoie, je suis déjà pleine de sperme. • T’inquiètes pas, tu le seras encore plus.

Aussi mon mari prit la place d’Alain dans ma chatte et entreprit de me besogner avec ardeur. Ce faisant, le foutre d’Alain ressortait petit à petit de ma chatte et lui lubrifiait la queue en même temps qu’il trempait ma culotte fendue et que je le sentais couler sur mes cuisses. Bientôt, mon mari déchargea à mon tour enfoncé jusqu’aux couilles en moi alors que j’avais repris ma fellation sur Alain.

Mon mari ressortit alors son membre et me la présenta pour que je lui nettoie.

• Vas y suces. Il y a mon foutre, le sien et le tien.

Ce que je fis sans sourciller.

Puis avant que je ne parte me nettoyer, mon mari fit de nouvelles photos de mon sexe d’où s’écoulaient lentement leurs foutres mélangés.

Pendant que je partais me nettoyer, mon mari demanda à Alain s’il était d’accord pour refaire des photos avec moi en me prenant dans différentes positions avant qu’ils ne me prennent tous les deux en sandwich. J’entendis l’homme répondre qu’il était d’accord mais demanda à nouveau d’en avoir un tirage comme souvenir. Mon mari acquiesça. Aussi quand je revins, mon mari me demanda de poser avec Alain. Je parus d’accord. Mon mari croyait que la perspective de me faire à nouveau prendre par cet homme qui m’avait faite jouir ne me déplairait pas. Mais il s’étonnait quand même. Après avoir tenté de refuser de me donner, voilà que j’en redemandais.

Je commençais par une fellation, puis me fis prendre couchée, cuisses largement écartées, puis en levrette avant de finir à califourchon sur notre copain, empalée jusqu’à la garde. A chaque fois, mon mari faisait à la fois des photos de mon amant et moi en entier puis des gros plans du membre qui me prenait. Mon mari recommençait à avoir une sérieuse érection. Il était temps de passer à la suite. Mon mari lâcha mon appareil et prit place derrière moi. Il m’enduisit l’anus de crème en malaxant ma rondelle pour l’assouplir. Puis quand mon mari sentit que j’étais prête, il pointa son gland sur mon petit trou qu’il força pour me sodomiser. J’avais cessé mes va-et-vient sur Alain pour me laisser pénétrer. Je poussais un petit cri quand mon mari fut au fond de moi.

• Oh oui ! Je vous ai tous les deux. Allez-y. Baisez-moi.

Dis-je en recommençant mes allers-retours. Je m’empalais toute seule sur leurs deux queues. Je crois que je devenais une sacrée salope. J’aimais vraiment le sexe mâle et même deux à la fois.

Puis mon mari proposa à Alain de changer de place. Mon mari sortit sa queue de mes fesses et s’allongea à côté de notre copain.

• Viens là, salope. Viens que je te baise.

Lui aussi, mon mari m’insultait mais je ne relevais pas. Plus tard, je découvris que beaucoup d’hommes aiment ainsi insulter les femmes qui se donnent à eux sans retenue.

Je me soulevais comme à regret, laissant sortir la queue d’Alain et vins alors m’empaler sur Christian. Alain passa derrière moi et entreprît de m’enculer à son tour. Bien que mon mari m’ait préparée, le sexe d’Alain étant un peu plus gros que le sien, j’eus un petit cri de souffrance lorsqu’il força mon petit trou mais bientôt, alors qu’il était complètement en moi, je repris mes va-et-vient sur leurs deux membres. Au bout de quelque temps, je sentis mon mari prêt à décharger.

• Je vais t’inonder de foutre, ma chérie. • Moi aussi

Répondît Alain.

J’accélérais alors mes mouvements en gémissant. Nous partîmes presque tous les trois ensembles, eux deux plantés au fond de mes deux orifices qu’ils emplirent de leur sperme. Au bout d’un long moment, Alain sortît sa queue et je m’effondrais sur le côté, expulsant mon mari de ma chatte. Mon mari reprit son appareil et me demanda de me mettre à quatre pattes. Mon mari photographiait alors mes deux trous d’où s’écoulaient leurs semences.

• Que de belles photos j’ai ?

Finalement, j’avais accepté de me faire prendre par un inconnu et j’y avais même pris du plaisir.

Ce jour là, je l’ai su après, mon mari pensait déjà à la suite : m’offrir à deux puis trois voire plus d’hommes. Puis m’offrir à l’improviste à des hommes rencontrés par hasard. Je vous raconterai la suite plus tard. Ce que je ne savais pas encore, c’est qu’il allait se servir des photos prises ce jour là pour trouver de nouveaux amants pour moi.

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